L'agence du médicament a rendu un avis, hier, mercredi, sur le patch contraceptif Evra, des laboratoires Janssen Cilag. L'usage de ce dernier devrait être restreint, notamment, en raison de l'augmentation du risque veineux connu depuis sa mise sur le marché en 2002.
Ce patch est à base de norelgestromine, un progestatif de troisième génération. Il se remplace toutes les semaines pendant trois semaines sur quatre.
Une pilule de première ou de deuxième génération doit être préférée à ce patch. Toutefois, les femmes l'utilisant ne doivent pas l'arrêter sans avis médical préalable.